Création d'une toile
Création de la toile « Il maestro amoroso »
Faire un portrait, c’est rencontrer un être en profondeur.
Le premier défi avec Celibidache, était de ne rien lui enlever de sa puissance,
Et pourtant que de tendresse dans la concentration de son regard !
Là, on s’aperçoit que la classe d’un personnage est dans le moindre pli de son vêtement, la grâce et la délicatesse, dans chaque millimètre de sa chair.
Il était un être angélique, complet et donc complexe, comme seules, les grandes, vieilles âmes, ont assez de force et de générosité pour le supporter, l’incarner, le transmettre.
Il ne faisait pas de la musique, il était la musique, je l’ai vu jaillir sous mon pinceau.
De Celibidache, on ne peut oublier la fulgurance du regard, le magnétisme et le talent, sa présence habitée de forces et de douceurs.
Il maestro n’était pas furioso, il était amoroso !


Faire un portrait, c’est rencontrer un être en profondeur.
Le premier défi avec Celibidache, était de ne rien lui enlever de sa puissance,
Et pourtant que de tendresse dans la concentration de son regard !
Là, on s’aperçoit que la classe d’un personnage est dans le moindre pli de son vêtement, la grâce et la délicatesse, dans chaque millimètre de sa chair.
Il était un être angélique, complet et donc complexe, comme seules, les grandes, vieilles âmes, ont assez de force et de générosité pour le supporter, l’incarner, le transmettre.
Il ne faisait pas de la musique, il était la musique, je l’ai vu jaillir sous mon pinceau.

De Celibidache, on ne peut oublier la fulgurance du regard, le magnétisme et le talent, sa présence habitée de forces et de douceurs.
Il maestro n’était pas furioso, il était amoroso !