Création d'une toile
Création de la toile « the Transfrontiers Angel »
Décembre 2012 : la création de la toile the Transfrontiers Angel : portrait de Michaël Jackson live in Bucarest 1992 :
un corps à corps céleste, le privilège d’une rencontre au-delà des mots, avec un grand Ange dont la beauté,
le sens de la perfection et la lumière se sont étendus sur le monde entier.
Une vigilance de chaque seconde pour ne pas rompre le contact avec lui. Un acte d’amour.
On peut les ajouter, les enlever…. En vain, toutes les ombres et toute la Lumière du monde sont dans son visage !
Chaque fois que j’ajoutais une ombre, je voyais apparaître l’une de ses souffrances, je l’enlevais et revenait son innocence.
Pas un instant, ne m’a quitté cependant, par-dessus tout, le Grand Ange Michaël, crucifié sur l’autel du monde.
Dans le vrai sens sacré de la croix, à la croisée des chemins entre le Ciel et la Terre.
Vivante antenne cosmique, à l’instar de la Colonne sans fin de Brancusi.
Je ne laisse jamais le doute m’assaillir car je sais que dès lors que j’ai un pinceau en main, une autre en moi, va prendre le relais, qui sait faire.
Lorsque je vois les monastères de Bucovine, j’ai l’impression que c’est là que j’ai appris à peindre, dans une autre vie et que je ne l’ai jamais oublié.
Si la lassitude me prend je fais une pause,
Le temps de retrouver le contact avec l’Esprit car c’est lui qui crée à travers nous.
Au terme de ce long voyage, l’œil capte avec une acuité décuplée, toutes les beautés du monde.



Décembre 2012 : la création de la toile the Transfrontiers Angel : portrait de Michaël Jackson live in Bucarest 1992 :
un corps à corps céleste, le privilège d’une rencontre au-delà des mots, avec un grand Ange dont la beauté,
le sens de la perfection et la lumière se sont étendus sur le monde entier.
Une vigilance de chaque seconde pour ne pas rompre le contact avec lui. Un acte d’amour.



On peut les ajouter, les enlever…. En vain, toutes les ombres et toute la Lumière du monde sont dans son visage !
Chaque fois que j’ajoutais une ombre, je voyais apparaître l’une de ses souffrances, je l’enlevais et revenait son innocence.
Pas un instant, ne m’a quitté cependant, par-dessus tout, le Grand Ange Michaël, crucifié sur l’autel du monde.
Dans le vrai sens sacré de la croix, à la croisée des chemins entre le Ciel et la Terre.
Vivante antenne cosmique, à l’instar de la Colonne sans fin de Brancusi.

Je ne laisse jamais le doute m’assaillir car je sais que dès lors que j’ai un pinceau en main, une autre en moi, va prendre le relais, qui sait faire.
Lorsque je vois les monastères de Bucovine, j’ai l’impression que c’est là que j’ai appris à peindre, dans une autre vie et que je ne l’ai jamais oublié.
Si la lassitude me prend je fais une pause,
Le temps de retrouver le contact avec l’Esprit car c’est lui qui crée à travers nous.
Au terme de ce long voyage, l’œil capte avec une acuité décuplée, toutes les beautés du monde.